Rassurés ? LVMH a publié des trimestriels solides hier soir, notamment au niveau de la croissance organique de Vuitton : suffisant pour inverser une tendance pesante sur le luxe ?
 
Kering travaille sa dette. Kering rachète partiellement quatre souches obligataires à hauteur de 370 millions d'euros pour lisser sa dette, notée "BBB+".
 
Total respecte l'embargo. Sans surprise, Total a cessé ses achats de pétrole à l'Iran pour éviter les sanctions américaines. Son PDG a réitéré ses grandes ambitions dans l'électricité.
 
KLM aux Antipodes. La filiale d'Air France KLM signe un accord de partage de codes avec Qantas. Le maillage avec Singapour et quatre villes australiennes sera ainsi renforcé.
 
Opel arrête des modèles. La filiale de Peugeot va cesser de commercialiser ses petites citadines Karl et ADAM et son cabriolet Cascada pour se concentrer sur les SUV.

Capio, c'est OK. Le groupe scandinave a accepté l'OPA revalorisée à 58 SEK par Ramsay Générale de Santé

Désaffection. La levée de fonds lancée par Orchestra Premaman n'a permis de mobiliser que 22,7 millions d'euros, soit environ 6 millions de moins qu'espéré. 
 
Histoires de contrats. Veolia signe un gros contrat en Ouzbékistan, Eiffage en Côte-d'Ivoire.
 
Atos grandit aux Etats-Unis. La SSII boucle le rachat de Syntel, une opération qui avait été annoncée plus tôt dans l'année et qui coûtera 3,4 milliards de dollars.
 
Midcaps. Cegedim monte une nouvelle structure de financement. Haulotte rachète son distributeur turc. Econocom réalise une petite acquisition.
 
Subprime. HSBC va payer 765 millions de dollars pour éviter des poursuites aux Etats-Unis dans l'affaire des crédits immobiliers titrisés de la période 2005 à 2007.
 
Magneti Marelli proche de Calsonic. Fiat Chrysler serait proche de la vente de Magneti Marelli à Calsonic, qui fait partie du portefeuille KKR, pour au moins 5,5 milliards d'euros dette incluse, a appris Bloomberg.
 
AWS engrange. Amazon Web Services aurait signé de nouveaux accords avec SAP et Symantec pour 1 milliard de dollars en cumulé.
 
Totally Spies. Un grand nom des télécoms US aurait découvert et supprimé un équipement d'espionnage sur un composant fourni par Super Micro, selon Bloomberg.
 
Not-Junk. La dette de Tesco repasse en catégorie d'investissement (BBB-) chez Fitch. La perspective est stable.
 
Smart recours. Google fait appel de sa condamnation de 4,3 milliards d'euros par Bruxelles au sujet d'Android, pour abus de position dominante.
 
Phase II positive. Novartis espère déposer une demande de mise sur le marché en 2019 aux Etats-Unis pour son traitement de la drépanocytose, Crizanlizumab.
 
Un activiste au café. William Ackman a pris 1% de Starbucks, dont le titre a bondi hier à cette annonce, car l'investisseur activiste n'est pas réputé pour entrer au capital de sociétés et rester passif.
 
Consolidation ? Zynga susciterait l'intérêt de grands noms du jeu vidéo. Le titre a flambé hier après cette rumeur propagée par Bloomberg.
 
Mouvements autour de WeWork. Softbank négocierait une part majoritaire dans WeWork, rapporte le 'WSJ', pour un investissement qui pourrait atteindre 15 à 20 milliards de dollars. Le groupe en possède déjà 20%.
 
En bref. Donald Trump se plaint encore du rythme de hausse des taux de la Fed, avant un déjeuner avec le rappeur Kanye West. Relevé en niveau 3, l'ouragan Michael approche de la Floride. Des rumeurs circulent sur un accord concernant le Brexit d'ici lundi.