HSBC signale un "découplage" entre les actions et les obligations américaines
Si "la bonne tenue récente des actions américaines a concordé avec une période de hausse des rendements du Trésor américain", les investisseurs sont actuellement confrontés à "une combinaison probable d'activisme fiscal, de fragmentation de l'économie mondiale, de nouvelles pressions inflationnistes et d'un cycle de réduction des taux d'intérêt de la Fed".
Pour Xavier Baraton, les valorisations des actions américaines "semblent excessives" et les attentes en matière de bénéfices "sont élevées"de sorte que les actions américaines les plus chères sont "vulnérables à la volatilité".
"La croissance plus rapide de l'Europe et de l'Asie en 2025 laisse penser que les marchés hors États-Unis ont encore une marge de manœuvre pour enregistrer des performances relativement supérieures".