Selon l'agence de presse Bloomberg, Imerys envisagerait plusieurs options - dont la cession - quant à sa filiale Imerys Talc America, placée sous la protection du 'chapter 11' de la loi sur les faillites en début d'année en raison de sa mise en cause judiciaire.

Schématiquement, le talc fourni par cette filiale américaine - et aussi par Johnson & Johnson - est mis en cause, outre-Atlantique, par des milliers de plaignants pour le rôle éventuellement cancérigène qu'il aurait pu jouer, notamment dans des produits pour bébé.

L'éventuel produit de la cession de cette filiale d'Imerys serait destiné à éponger le passif judiciaire, ajoute Bloomberg.


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