Sanofi a révélé qu'une présentation de dernière minute au congrès de l'ESMO montrait qu'une monothérapie par Libtayo (cemiplimab) augmentait la survie globale des patients atteints d'un cancer du poumon non à petites cellules dont 50 % ou plus des cellules tumorales expriment la protéine PD-L1. Dans la population générale de l'essai, Libtayo a réduit le risque de décès de 32 %, comparativement à la chimiothérapie.

Une analyse préspécifiée des données des patients dont 50 % ou plus des cellules tumorales exprimaient la protéine PD-L1 a montré que Libtayo a réduit le risque de décès de 43 %.