JCDecaux, numéro un mondial de la communication extérieure et numéro un mondial du Vélo en Libre-Service, en réponse à l’article du Parisien paru le lundi 12 septembre 2016 et intitulé “L’addition salée des Vélib’” tient à rappeler les éléments suivants concernant Vélib’ et la Somupi, sa filiale qui a la charge de ce service. Le groupe rappelle que la prolongation du contrat d'exploitation après février 2017, votée en Conseil de Paris en juillet 2016, est à l'initiative de la Ville.

JCDecaux répond aussi aux critiques sur la transparence des comptes de la Somupi, rappelant que cette filiale "a remis chaque année à la Ville ses comptes sociaux validés par les Commissaires aux Comptes et chaque mois le rapport financier du mandat d'encaissement tel que prévu contractuellement."

Concernant le coût d'exploitation des Vélib' par la Ville de Paris, le groupe redonne les chiffres de 2013, année citée dans l'article du Parisien et dans le rapport dont il fait état. "Les charges se sont en effet élevées à 16,7 millions d'euros et les revenus à 20,1 millions d'euros. Les revenus comprennent d'une part les recettes des locations et des abonnements usagers qui reviennent à la Ville de Paris, soit 16,1 millions en 2013 (15 à 18 millions d'euros selon les années, 17,3 millions d'euros en 2015), et d'autre part la redevance d'occupation de l'espace public, soit 4 millions, versée par la Somupi à la Ville dans le cadre de l'exploitation publicitaire des mobiliers urbains d'information qui financent le service".