Zurich (awp) - CSL Vifor et son partenaire californien Travere Therapeutics indiquent lundi avoir obtenu de l'Agence européenne des médicaments (EMA) un examen de leur dépôt de candidature pour le sparsentan, contre une forme rare de trouble rénaux. La décision finale est attendue pour la seconde moitié de l'année prochaine, précise un communiqué.

Le laboratoire saint-gallois Vifor en voie d'acquisition par l'australien CSL avait acquis à l'automne dernier auprès de Travere les droits de commercialisation pour ce traitement expérimental sur le Vieux continent et l'Océanie, pour un montant préalable de 55 millions de dollars.

Travere pourra par la suite prétendre à des versements supplémentaires de jusqu'à 135 millions de dollars, en fonction du franchissement d'étapes déterminées liées à l'homologation et à l'accès au marché.

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