D'une manière générale, la société présente des fondamentaux de mauvaise qualité dans le cadre d'une stratégie d'investissement à moyen et long termes.
Dans une optique d'investissement de court terme, la société présente une configuration fondamentale dégradée.
Points forts
Généralement, la société publie au-dessus du consensus des analystes avec des taux de surprise globalement positifs.
Le titre suit une tendance de fond positive sur le long terme au-dessus du niveau support des 130.5 CHF.
Points faibles
L'action évolue à proximité d'une résistance long terme en données hebdomadaires, située vers 161.1 CHF. En-dessous de ce niveau, le potentiel pourrait s'avérer limité.
Techniquement, les cours s'approchent actuellement d'une forte résistance moyen terme, située vers 163.8 CHF.
Le groupe fait partie des entreprises dont les perspectives de croissance apparaissent les plus faibles d'après les estimations d'analystes.
La situation financière du groupe fait partie de ses principaux points faibles.
Les estimations des différents analystes qui suivent le dossier ne sont pas toutes en adéquation. La dispersion des estimations supposent soit un manque de visibilité liée à l'activité, soit des opinions divergentes.
Le ratio "valeur d'entreprise sur chiffre d'affaires" de la société la situe parmi les sociétés les plus chères à l'échelle mondiale.
Le groupe ne redistribue pas ou peu de dividendes et ne fait donc pas partie des sociétés de rendement.
Les perspectives de chiffre d'affaires du groupe ont été récemment revues à la baisse. Cette évolution des prévisions met en avant un pessimisme des analystes en ce qui concerne les ventes de la société.
La tendance des révisions de chiffre d'affaires sur l'année écoulée est clairement baissière ; les prévisions de ventes ont été revues régulièrement à la baisse par les analystes.
Dernièrement, le groupe n'a plus la faveur des analystes. Ces derniers ont largement revu à la baisse leurs estimations de résultats.
Sur les 12 derniers mois, le momentum des révisions de bénéfices ressort largement négatif. D'une manière générale, les analystes anticipent désormais une profitabilité inférieure à leurs estimations un an plus tôt.