Publiés ce mardi après Bourse, les comptes du premier semestre d'Ulric de Varens ont été marqués par une multiplication par 3,9 du bénéfice net part du groupe, lequel est ressorti à 450.000 euros.

Le bénéfice opérationnel courant du groupe de parfums a, lui, bondi de 97,3% pour s'établir à 730.000 euros.

La marge brute a en revanche reculé de 4,7% par rapport aux 6 premiers mois de l'exercice précédent à 5,2 millions d'euros et le chiffre d'affaires a diminué de 4,8% à 10,1 millions.

Les ventes se sont repliées de 1,9% en France, mais affichent une croissance de 2,6% à périmètre comparable grâce au bon accueil reçu par les nouveaux produits. A l'export (81% des revenus totaux), les ventes ont été impactées par un environnement économique dégradé dans certaines zones de marché et accusent une baisse de 5,5%, a détaillé Ulric de Varens, qui disposait par ailleurs au 30 juin de 17,9 millilns d'euros de capitaux propres part du groupe.

La société a en outre fortement réduit sa dette financière à 430.000 euros au premier semestre, contre 2,48 millions un an auparavant. L'endettement net est de 2,26 millions d'euros et la trésorerie nette s'élevait à 2,69 millions au dernier pointage.

Ulric de Varens a fait part de son intention de poursuivre au second semestre, période historiquement plus soutenue de l'activité, sa politique de réduction des coûts et d'intensifier ses efforts marketing et commerciaux pour soutenir les ventes de ses lignes de parfums en prévision des fêtes de fin d'année.


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