Ulric de Varens a rapporté hier après la clôture des marchés avoir généré un chiffre d'affaires d'environ 10 millions d'euros au premier semestre, en retrait de 5% par rapport aux 6 premiers mois de l'exercice clos.

Le groupe a accusé une baisse de 1,9% de ses ventes en France sur la période à un peu plus de 1,9 millions d'euros, considérant que le premier semestre 2014 intégrait 4 boutiques en propre en moyenne, contre aucune cette année. Hors boutiques, l'activité semestrielle a affiché une hausse de 2,6%, tirée par l'ensemble de la gamme et par le bon accueil en GMS des nouveaux parfums tels que 'UDV Flash'.

A l'international, les revenus semestriels ont en outre reculé de quelque 490.000 euros à 8,1 millions d'euros essentiellement à cause d'un environnement économique et politique dégradé dans plusieurs marchés-clefs tels que la Russie, l'Ukraine, la Grèce, l'Algérie, le Brésil et le Moyen-Orient en général.

Ulric de Varens a indiqué poursuivre sa politique d'optimisation des coûts, laquelle devrait l'amener à générer sur le semestre écoulé des résultats en hausse.

Fort de l'accueil particulièrement positif de ses nouvelles lignes de parfums et de la bonne orientation de sa stratégie marketing et commerciale, le groupe anticipe un second semestre 2015 en croissance en glissement annuel, sachant que la seconde partie de l'année représente 60% des ventes annuelles.


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