Ulric de Varens a dévoilé hier après Bourse un bénéfice net part du groupe de 830.000 euros au titre de l'exercice écoulé, contre un déficit de 890.000 euros à fin 2013.

Le groupe a également enregistré un résultat opérationnel courant (ROC) de 1,5 million d'euros, à comparer avec une perte de 800.000 euros, et sa marge brute a progressé de 400.000 euros à 12,8 millions.

Seul bémol: l'activité s'est replié de 3% par rapport à 2013 à 25 millions d'euros. La baisse des revenus en France est due en partie à la fermeture de 3 boutiques actives et à un ralentissement de la consommation en GMS en fin d'année 2014.

A l'international, qui représente 76% du chiffre d'affaires global, les ventes ont en revanche augmenté de 1% grâce aux succès commerciaux des nouvelles lignes de parfums ainsi qu'à la contribution de la filiale allemande et de la nouvelle filiale turque.

'L'année 2014 marque le retour à la profitabilité du groupe et l'accélération du redressement. Cette amélioration de la rentabilité est due à une bonne maîtrise de nos charges et au quasi maintien de notre chiffre d'affaires dans un contexte de concurrence tendue', a commenté Ulric Viellard, PDG d'Ulric de Varens.

Enfin, concernant ses prévisions annuelles, le groupe, qui s'attend à progresser dans la plupart des pays où il est implanté, a indiqué vouloir continuer sa politique d'optimisation des coûts en réduisant encore ses charges opérationnelles, d'où un résultat attendu cette année en nette progression. Il souligne en outre que ses nouveaux produits rencontrent un très bel accueil, même s'il faudra du temps pour que ces lancements prennent leurs places du fait de l'âpreté de la concurrence.


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