AEROPORTS DE PARIS
L'exploitant des aéroports de Roissy et d'Orly présentera, après la clôture des marchés, ses résultats du premier semestre.

AREVA / EDF
Selon Le Figaro, Areva et EDF sont parvenus mardi à un compromis sur les premiers élements du plan de sauvetage du groupe nucléaire qui traverse de graves difficultés, à l'issue d'âpres négociations. Ainsi, les deux groupes, qui ont chacun fait de nombreuses concessions, devraient être en mesure de respecter le calendrier imposé par l'Etat, à savoir le 31 juillet. Si l'accord sur le rachat par EDF des activités du groupe dans les réacteurs nucléaires (Areva NP) sera ainsi dévoilé à la fin de la semaine, les annonces sur la recapitalisation d'Areva par l'Etat devraient intervenir plus tard.

ATOS
La SSII détaillera ses résultats du premier semestre avant-Bourse.

EIFFAGE
Eiffage a publié un chiffre d'affaires du premier semestre 2015 en hausse de 1,4 % (+0,7% en organique) à 6,6 milliards d'euros. Dans le détail, l'activité Travaux a vu ses revenus progresser de 0,9% (+0,1% en organique) à 5,4 milliards d'euros. Les Concessions ont enregistré une croissance de 3,9% à 1,15 milliard d'euros. Au seul deuxième trimestre, Eiffage a réalisé un chiffre d'affaires consolidé de près de 3,6 milliards d'euros, en hausse de 2,5 % par rapport au 2ème trimestre 2014.

ELIS
Le blanchisseur industriel présentera ses comptes du premier semestre.

ENGIE
Le groupe d'énergie publiera ses résultats semestriels en milieu de séance.

ERAMET
Le groupe minier publiera ses résultats du premier semestre après-Bourse.

GROUPE CRIT
Groupe Crit a fait état, après la clôture des marchés, d'un chiffre d'affaires en progression de 17,5% (+13,5% à taux de change constant) à 505,9 millions d'euros pour le compte du deuxième trimestre. La France, comme l'international contribuent à la croissance. A l'international (24% de l'activité totale), le groupe confirme sa dynamique avec un chiffre d'affaires en croissance de 31,2% à 120,9 millions d'euros. Fort de cette dynamique, les revenus du semestre ressortent à 918,5 millions d'euros, soit une progression de 16% (+11,8% à taux de change constant).

HERMES
Le groupe de luxe publiera ses résultats du premier semestre après-Bourse.

IMERYS
Le groupe publiera ses résultats du premier semestre après-Bourse.

INGENICO
Le groupe spécialisé dans les solutions de paiement publiera ses résultats du premier semestre après-Bourse.

KLEPIERRE
La foncière publiera ses résultats du premier semestre après-Bourse.

LAFARGE
Lafarge a fait état d'une perte nette de 477 millions d'euros sur les six premiers mois de l'année, (contre un bénéfice de 70 millions sur la l'an passé à pareille époque). Ce repli est lié aux effets comptables temporaires liés à la fusion avec Holcim, a expliqué le cimentier français, soulignant que son bénéfice avait grimpé de 57% hors éléments exceptionnels. De son côté, l'excédent brut d'exploitation s'apprécie de 6% (+2% en comparable) à 1,22 milliard d'euros sur la période tandis que le résultat d'exploitation courant progresse de 8% (+6% en comparable) à 813 millions d'euros.

LVMH
LVMH a réalisé au premier semestre 2015 un résultat net en hausse de 5% à 1,58 milliard d'euros. Le résultat opérationnel courant du numéro un mondial du luxe a progressé de 15% à 2,955 milliards "une évolution à laquelle participe l'ensemble des métiers", selon le communiqué. Le chiffre d'affaires a grimpé de 19% à 16,707 milliards. La croissance organique des ventes est ressortie à 6%. Le groupe a enregistré de fortes progressions en Europe et aux Etats-Unis. Louis Vuitton réalise un excellent début d'année, a précisé LVMH.

M6
Le groupe M6 a fait état, d'un bénéfice net part du groupe, pour le compte du premier semestre, en retrait de 9,7% à 58,3 millions d'euros pour le premier semestre, en raison notamment du fléchissement de son activité non publicitaire, dont les revenus ont décroché de 4,1% à 224,4 millions d'euros. En outre, le résultat opérationnel des activités poursuivies s'est contracté de 7,4% à 102,6 millions d'euros. En outre, les revenus du groupe ont reculé de 0,7% à 629,9 millions d'euros.

NEXANS
Nexans a fait état, avant l'ouverture des marchés, d'une perte nette de 58 millions d'euros au premier semestre (contre un bénéfice de 25 millions l'an passé à pareille époque), pénalisé par les charges liées à sa restructuration - environ 98 millions d'euros- et autres provisions. En revanche, l'excédent brut d'exploitation s'apprécie de 13,6% à 167 millions d'euros, avec une marge opérationnelle qui bondit de 23% à 95 millions. A cours des métaux constants, le chiffre d'affaires progresse de 3,4% à 2,38 milliards d'euros grâce à un effet de change favorable.

NEXTRADIOTV
Le groupe de médias publiera ses résultats du premier semestre après la séance.

NUMERICABLE-SFR
L'opérateur a présenté un résultat net redevenu positif de 79 millions d'euros qui fait suite à une perte nette de 116 millions d'euros au deuxième trimestre 2014. L'Ebitda ajusté de Numericable-SFR a également progressé de 19% à 1,05 milliard d'euros. Seul point noir de cette publication : les ventes de l'opérateur ont encore baissé au deuxième trimestre de 2,4% à 2,78 milliards d'euros.

PEUGEOT
PSA a annoncé, avant l'ouverture des marchés, avoir renoué avec les bénéfices pour la première fois depuis 4 ans. Ainsi, le constructeur automobile a enregistré, sur les six premiers mois de l'année, un bénéfice net de 571 millions d'euros, contre une perte de 114 millions l'an passé à pareille époque. Une solide performance due au redressement de la branche automobile qui a atteint une marge opérationnelle de 5% sur la période. De son côté, le résultat opérationnel courant du groupe a plus que triplé sur la période, à 1,42 milliard avec une marge opérationnelle de 4,9%.

REXEL
Le distributeur français de matériel électrique Rexel a publié mercredi une chute de 98,4% de son bénéfice net au premier semestre à 1,5 million d'euros, plombé par l'Amérique latine, pénalisé notamment par des pertes de 41,7 millions d'euros dans des opérations abandonnées en Amérique latine. Pour les activités poursuivies, il chute aussi fortement, de 61,4%, à 43,2 millions. En dépit de ces forts reculs, Rexel confirme toutefois qu'il atteindra "le bas de la fourchette" de ses objectifs annuels.

SAINT-GOBAIN
Le fabricant des matériaux de construction détaillera ses résultats du premier semestre après la séance.

SCHNEIDER ELECTRIC
Schneider Electric a dévoilé un résultat net part du groupe en recul de 12% à à 719 millions d'euros pour le compte du premier semestre tandis que, dans le même temps, son Ebita ajusté s'appréciait de 6,4% à 1,6 milliard d'euros. Les devises ont un effet positif de 200 millions d'euros sur l'Ebita ajusté, principalement en raison d'un dollar américain et d'un yuan chinois plus forts par rapport à l'euro. Enfin, les revenus du spécialiste de la gestion de l'énergie progressent de 9,8% à 12,84 milliards d'euros (-0,9% en organique).

SOLVAY
Solvay a réalisé au deuxième trimestre un résultat net ajusté part du groupe de 301 millions d'euros, en hausse de 62%. Le Rebitda a atteint 500 millions, en hausse de 8,1%. Les effets de conversion et le pricing power dans l'ensemble des métiers ont plus que compensé la baisse des volumes et la hausse des coûts fixes liés au démarrage de nouveaux sites de production. La marge de Rebitda a atteint 19% du chiffre d'affaires net, en hausse de 66 points de base. Le chiffre d'affaires a progressé de 4,2% à 2,675 milliards.

TELEPEFORMANCE
Teleperformance a fait état, après la clôture des marchés, d'un résultat net en progression de 45,1% à 83 millions d'euros pour le compte du premier semestre, tandis que le résultat opérationnel du spécialiste de la gestion multimédia de l'expérience client externalisée s'est apprécié, peu ou prou, dans les même proportions, de 41,3% à 126 millions d'euros. De son côté, l'Ebita courant du groupe a progressé de 43,6% à 144 millions d'euros. En outre, les revenus du groupe ont grimpé de 33,2% (+7,8% à données comparables) sur la période à 1,65 milliard d'euros.

TOTAL
Total a réalisé au deuxième trimestre 2015 un résultat net ajusté de 3,085 milliards de dollars, en baisse de 2%. La compagnie pétrolière a pratiquement réussi à compenser l'impact de la chute des cours du brut par des réductions de coûts. Le résultat opérationnel net ajusté des secteurs a reculé, lui, de 13% à 3,334 milliards. Le chiffre d'affaires a décroché de 29% à 44,715 milliards, pénalisé par les prix du pétrole. Malgré sa stabilisation autour de 60 dollars le baril au deuxième trimestre, il accuse une chute de plus de 40% en un an.