Zurich (awp) - Novartis a reçu du Comité européen des médicaments à usage humain (CHMP) une recommandation pour une extension d'indication du Kisqali, en combinaison avec une thérapie endocrine. L'organe consultatif de l'Agence européenne des médicaments (EMA) préconise d'étendre le spectre pour ce traitement à l'ensembles des patientes souffrant de cancer du sein métastatique ou localement avancé HR+/HER2-.

Le géant pharmaceutique rhénan rappelle dans son communiqué vendredi que deux études pivot de phase III ont démontré les bienfaits pour les patientes de l'administration du Kisqali, indépendamment d'une combinaison ou du statut ménopausal, en première ou en seconde ligne de traitement.

Le Kisqali est déjà homologué depuis le printemps 2017 aux Etats-Unis et l'été de la même année en Europe pour le traitement initial chez les femmes ménopausées souffrant de cancer du sein métastatique ou localement avancé HR+/HER2-. L'Agence sanitaire américaine (FDA) a élargi en juillet dernier ce spectre aux patientes pré- ou péri-ménopausées.

jh/al