General Motors sous pression. Le principal dirigeant syndical du groupe Opel, Klaus Franz, a menacé le constructeur automobile américain de "mesures spectaculaires" s'il ne se décidait pas à afficher sa préférence pour l'un des repreneurs du groupe allemand. "Nous sommes restés calmes jusqu'à maintenant, nous avons écouté attentivement et nous avons fait des commentaires mais tout cela est terminé. Si rien ne change du côté de General Motors d'ici la fin de cette semaine, nous passerons à l'action et il y aura de notre côté des mesures spectaculaires", a t-il déclaré sur la radio allemande.