General Motors réclame toujours une aide publique pour la restructuration de sa filiale allemande Opel. "La restructuration d'Opel, dans le but d'assurer une durabilité sur le long terme, nécessite la participation et l'engagement financier de tous les actionnaires, y compris le personnel et les Etats", a indiqué GM Europe. Le ministre de l'Economie allemand Rainer Brüderle avait pourtant estimé hier que le constructeur automobile pouvait assumer lui-même le coût de la restructuration d'Opel.