L'évolution du dossier était suivie de près car l'intérêt qu'il suscitait auprès des groupes de capital-investissement était considéré comme un baromètre de leur volonté à revenir sur les marchés après leur retrait forcé dû à la crise du crédit.

Les discussions avec les candidats présélectionnés pour le rachat ont clairement montré, explique Reed, qu'il était impossible de conclure un accord dans des conditions "acceptables".

A la Bourse de Londres, l'action Reed Elsevier a fini en baisse de 3,39% après l'abandon du projet. La vente de la division aurait financé en partie une acquisition antérieure du groupe.

Paul Hoskins, version française Marc Angrand