Cette décision fait suite à des mois de discussions entre les Pays-Bas, les États-Unis et le Japon, au cours desquelles Washington a tenté d'amener ses alliés à adopter des restrictions similaires à celles qu'il a introduites en octobre et qui visent à entraver la capacité de la Chine à fabriquer des semi-conducteurs et à ralentir ses avancées militaires.