Les négociations ont été interrompues à Tokyo pour les filiales Vinx, Cyber Com, Cybernet Systems et Fuji Soft Service Bureau.

Fuji Soft détient une participation de plus de 50 % dans ces sociétés, selon les données du LSEG.

Les entreprises japonaises sont soumises à une pression croissante pour améliorer leur gouvernance et l'efficacité de leur capital. L'une des pratiques qui a fait l'objet d'un examen approfondi est celle des participations croisées, dans le cadre de laquelle les entreprises prennent des participations dans des partenaires afin de consolider leurs relations et d'éviter les investisseurs activistes.

Fuji Soft a fait l'objet d'une bataille de procurations l'année dernière, lorsque le fonds d'investissement spéculatif 3D Investment Partners, basé à Singapour, a fait entrer deux de ses candidats au conseil d'administration de la société japonaise.