Selon le média italien, le prix à ce rapprochement serait la réduction de la part de Renault au capital de Nissan. Le japonais souhaiterait que cette part soit ramenée à 20-25% tandis que Renault consentirait à la réduire aux alentours de 30-35%.
Actuellement, le constructeur français détient 43,4% de Nissan, alors que le japonais ne détient en retour que 15% du français, sans droit de vote. Un sujet de friction de longue date.
Ces informations d'Il Sole 24 Ore font écho aux révélations du Wall Street Journal. Début août, le média américain faisait également de cette question des participations croisées un point central quant à la reprise des discussions entre Renault et FCA.