L'exercice budgétaire du gouvernement commence le 1er juillet.

SUR LA DETTE PUBLIQUE :

"La dette publique du Kenya reste soutenable, mais avec des risques élevés de surendettement en raison de chocs mondiaux persistants qui affectent négativement les ratios de liquidité."

"La dépréciation du shilling kenyan par rapport aux principales monnaies et la hausse des taux d'intérêt ont augmenté le coût du service de la dette.

"En outre, la dépréciation de la monnaie a augmenté la taille de l'encours de la dette publique, puisque la moitié de la dette publique est en fait libellée en devises étrangères.

"Bien que le fardeau de la dette ait augmenté, le gouvernement s'est engagé à respecter ses engagements. ... Le gouvernement s'est engagé à honorer toutes les obligations de la dette publique au fur et à mesure qu'elles arrivent à échéance."

WALK-OUT

Une douzaine de parlementaires de l'opposition ont brièvement interrompu le discours en organisant une sortie de l'hémicycle au moment où le ministre commençait. Le calme est revenu et le discours s'est poursuivi.

PERSPECTIVES DE CROISSANCE ÉCONOMIQUE :

"L'économie devrait rebondir et croître de 5,5 % en 2023, contre 4,8 % en 2022. Elle sera soutenue par une croissance tirée par le secteur privé, notamment par les bonnes performances du secteur des services.

DÉFICIT :

"Le plan d'assainissement budgétaire vise à réduire progressivement le déficit budgétaire, y compris les dons, de 6,2 % du PIB pour l'exercice 2021/22 à 5,8 % du PIB pour l'exercice 2022/23 et à 4,4 % du PIB pour l'exercice 2023/24, puis à ramener le déficit budgétaire à 3,6 % pour l'exercice 2025/26."

DÉPENSES TOTALES :

"Nous avons modéré nos dépenses pour nous assurer que nous en avons pour notre argent."

OBJECTIFS D'EMPRUNT :

"Le déficit budgétaire sera financé par un financement extérieur net de 131,50 milliards de shillings et un financement intérieur net de 586,5 milliards de shillings.

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