• La façon de communiquer de la Banque d'Angleterre montre que les vieilles dames savent aussi tweeter. So British. 


  • Pour Charles Schwab, le pétrole décroche en solo, graph à l'appui. "Cela laisse penser que la chute du pétrole est largement dominée par la hausse de l'offre plus que par les craintes d'une baisse de la demande", écrit la banque américaine.
 
  • Vallourec, chahuté par S&P sur sa solidité financière, réagit en tentant de rassurer le marché, mais c'est Bank of America Merrill Lynch qui vole à son secours avec une recommandation relevée à l'achat. L'analyste coupe toutefois de 5,20 à 3 EUR sa valorisation mais pense que les craintes sur la solvabilité sont excessives. La somme des positions ouvertes à la vente sur le dossier est passée de 17,10 à 15,6% au cours des derniers jours, sans prendre en compte la vive hausse initiée hier. Vallourec reste le titre le plus vendu de la cote, mais le rebond pourrait entraîner des réductions de positions spéculatives. 
 
  • Midcap Partners Louis Capital Markets passe d'achat spéculatif à neutre sur Orchestra, objectif ramené de 1,50 à 0,80 EUR. Pas de retour à la rentabilité avant 2020, comme le montrent les anticipations ci-dessous.
  • Décidément, Altran a des soucis avec la facturation. Les plus anciens se rappelleront le retentissant scandale de 2002. Les plus jeunes de la découverte par le groupe de conseil d'une fraude à la facturation d'un employé indélicat chez Aricent, l'Américain racheté il y a quelques mois. 'La Lettre A' révèle cette fois qu'Altran pourrait avoir maille à partir avec le fisc français pour des "factures suspectes dans les notes de frais". 
 
  • Dites 27. Goldman Sachs a baissé de 27% à 27 EUR son objectif de cours sur Valeo. Le titre ne fait pas -27%, mais -4%.

  • Chez Renault, le bilan boursier de Carlos Ghosn est légèrement positif depuis son arrivée aux manettes fin avril 2005, grâce aux dividendes (2,4% de rendement annuel). En données brutes, le titre Renault cotait à l'époque près de 5% au-dessus de son niveau actuel de 61,50 EUR. Il faut dire qu'il était descendu en flèche sur les 10 EUR au plus fort de la crise des subprimes.

 
Copie d'écran Bloomberg dividendes réinvestis (Cliquer pour agrandir)