Google, l'unité d'Alphabet, Facebook, Twitter et d'autres entreprises technologiques devront prendre des mesures pour contrer les deepfakes et les faux comptes sur leurs plates-formes, sous peine de se voir infliger de lourdes amendes, ont déclaré lundi des personnes au fait de la question.
La mesure fait partie du code de pratique actualisé de la Commission européenne sur la désinformation que l'exécutif européen publiera jeudi, alors qu'il poursuit sa lutte contre les fausses nouvelles, ont indiqué les personnes concernées.
Le code volontaire a été introduit en 2018.