Le journal ajoute que le groupe français, dont Nissan détient 15% du capital sans droits de vote, entend établir le siège de holding dans un pays tiers.

Citant des sources, le Nikkei ajoute que Renault avait soumis une autre proposition de fusion à Nissan, que le constructeur japonais a rejetée le 12 avril.

L'avenir de l'alliance entre Renault et Nissan, qui fête cette année son vingtième anniversaire - est sous le feu des projecteurs depuis l'arrestation en novembre de Carlos Ghosn, l'ex-président des deux entreprises et architecte de leur rapprochement, qu'il était censé consolider avant de tomber en disgrâce.

(Ran Kim and Naomi Tajitsu, Benoit Van Overstraeten pour le service français, édité par Gilles Guillaume)

Valeurs citées dans l'article : Renault, Nikkei 225, Nissan Motor Co Ltd