Face à la fronde d'un nombre 'significatif' d'actionnaires, notamment du Royaume-Uni, le conseil d'administration d'Unilever a renoncé à son projet de simplification du groupe anglo-néerlandais.

L'idée était de renoncer à la structure 'duale' du groupe binational et de le doter d'un siège social unique qui aurait été basé aux Pays-Bas.

Auquel cas le titre Unilever, qui fait actuellement l'objet d'une double cotation à Londres (avec un code Isin britannique) et à Amsterdam (avec un Isin néerlandais), aurait probablement été retiré des indices d'actions britanniques, comme le FTSE 100. Autre interrogation des actionnaires : le statut fiscal du dividende, différent selon les deux pays et qui fait l'objet d'un précompte aux Pays-Bas.


Copyright (c) 2018 CercleFinance.com. Tous droits réservés.