Si Vivendi utilise toute la recette de cette vente pour racheter sa dette, cette opération aura un impact dilutif de 8% au niveau du bénéfice par action, selon Kepler Cheuvreux. Mais s'il en utilise une partie pour racheter des actions, la dilution serait moindre. Le broker estime qu'après la vente de Maroc Telecom et d'Activision Blizzard, le ratio de dette nette sur Ebitda de Vivendi pourrait tomber en dessous de 1.
S'il considère que cette vente sera plus profitable aux actionnaires minoritaires d'Activision Blizzard, Kepler Chevreux reconnaît volontiers qu'il s'agit d'une étape positive dans la dynamique de restructuration de Vivendi.