Le Keytruda est le principal moteur de croissance de Merck en raison de sa position de pointe en tant que traitement initial du cancer du poumon, le marché le plus lucratif dans le domaine de l'oncologie. A la suite de tests positifs, il pourrait aussi s'imposer dans le traitement du cancer du rein. Ses ventes ont bondi de 55% à 2,27 milliards de dollars (2,02 milliards d'euros) au premier trimestre.

Merck a dégagé sur les trois premiers mois de l'année un bénéfice par action de 1,22 dollar, hors exceptionnels, sur un chiffre d'affaires de 10,81 milliards de dollars. Les analystes attendaient en moyenne respectivement 1,06 dollar et 10,48 milliards de dollars, selon les données IBES de Refinitiv.

(Service Entreprises)