Canada Nickel Company Inc. a déposé une étude de faisabilité bancaire (" EFB ") pour son projet de sulfure de nickel Crawford (" Crawford "), dont elle est l'unique propriétaire et qui est situé à Timmins, en Ontario, au Canada. L'EFB, intitulée " Crawford Nickel Sulphide Project NI 43-101 Technical Report and Feasibility Study ", a été préparée de façon indépendante par Ausenco Engineering Canada Inc. (" Ausenco "), conformément au Règlement 43-101 sur l'information concernant les projets miniers (" Règlement 43-101 "), tel qu'annoncé dans un communiqué de presse daté du 12 octobre 2023.

Une économie solide. Après impôts, 2,5 milliards de dollars de VAN8% et 17,1% de TRI ; augmentation à 2,6 milliards de dollars de VAN8% et 18,3% de TRI avec les crédits d'impôts projetés pour le captage et le stockage du carbone. Des réserves prouvées et probables de 3,8 millions de tonnes de nickel contenu provenant de 1,7 milliard de tonnes de minerai titrant 0,22 % de nickel font de Crawford la deuxième réserve de nickel au monde.

Les réserves se trouvent dans une ressource mesurée et indiquée qui a augmenté de 74 % (par rapport à l'estimation des ressources de 2022) pour atteindre 6,0 millions de tonnes. Avec des ressources minérales présumées supplémentaires de 3,7 millions de tonnes de nickel contenu, Crawford est la deuxième ressource de nickel au monde. Grande échelle, faible coût, longue durée de vie.

Production annuelle moyenne de nickel de 83 millions de livres (38 000 tonnes) sur une durée de vie de 41 ans, avec une production de 48 ktpa de nickel, 0,8 ktpa de cobalt, 13 koz de palladium et de platine, 1,6 Mtpa de fer et 76 ktpa de chrome sur une période de pointe de 27 ans. Le coût net de la vie de la mine au niveau C1 de 0,39 $/lb de nickel (sur la base des sous-produits) place Crawford dans le premier quartile de la courbe des coûts. Le coût net AISC, sur la base des sous-produits, est de 1,54 $/lb de nickel.

Les recettes prévues dépassent 48 milliards de dollars, soit plus d'un milliard de dollars par an pendant la durée de vie du projet. Amélioration significative des récupérations par rapport à l'étude d'impact sur l'environnement. Nickel : Amélioration de 10 % de la durée de vie de la mine (41 % contre 37 % dans l'EEP) et amélioration de 23 % de la phase I/phase II par rapport à l'EEP (46 % contre 37 % dans l'EEP).

Amélioration de la récupération sur la durée de vie de la mine pour le fer : 46 %, le cobalt : 38 % et le chrome : 5 %. Génération importante de bénéfices et de flux de trésorerie disponibles. Projection d'un EBITDA annuel de 810 millions de dollars et d'un FCF de 540 millions de dollars pendant la période de pointe, d'un EBITDA annuel de 667 millions de dollars et d'un FCF de 431 millions de dollars pendant la durée de vie du projet.

Minimisation de l'empreinte carbone. Empreinte carbone minimale de 4,8 tonnes de CO2/tonne de nickel concentré, 2,3 tonnes de CO2/tonne d'équivalent nickel ("NiEq") ; en grande partie grâce à une flotte minière alimentée à l'électricité, y compris des camions à assistance par chariot, qui devraient réduire la consommation de diesel de plus de 40 % par rapport à l'équipement alimenté au diesel. La mise en œuvre du processus de carbonatation IPT (In-Process Tailings) propre à la société devrait permettre le captage et le stockage de 1,5 million de tonnes de CO2 par an pendant une période de pointe de 27 ans, dont la majeure partie sera vendue à des tiers.

L'empreinte carbone nette négative prévue de la capacité de captage et de stockage du carbone est de 30 tonnes de CO2/tonne, dont la majeure partie sera vendue à des tiers. Empreinte carbone nette négative prévue de la capacité de captage et de stockage du carbone de 30 tonnes de CO 2/tonne de nickel après prise en compte de l'empreinte du projet.