Can. Imperial Bank : La Banque CIBC annonce ses résultats du quatrième trimestre et de l'exercice 2011

TORONTO, le 1er déc. 2011 /CNW/ - La Banque CIBC a annoncé un bénéfice net de 794 M$ pour le quatrième trimestre clos le 31 octobre 2011, en hausse par rapport à 500 M$ au quatrième trimestre de 2010. Le bénéfice dilué par action s'est élevé à 1,89 $ et le bénéfice dilué par action (comptabilité de caisse), à 1,91 $1 pour le quatrième trimestre de 2011 par rapport à respectivement 1,17 $ et 1,19 $1 pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent.

Les résultats de la Banque CIBC pour le quatrième trimestre de 2011 ont été influencés par les éléments d'importance suivants qui, regroupés, ont donné lieu à une incidence positive de 0,04 $ par action :

• un gain de 90 M$ (46 M$ après impôts, ou 0,12 $ par action) à la vente d'un placement de services de Banque d'affaires, déduction faite des charges connexes;
• une perte de 14 M$ (10 M$ après impôts, ou 0,03 $ par action) sur les activités de crédit structuré en voie de liquidation;
• des pertes sur créances de 25 M$ (18 M$ après impôts, ou 0,05 $ par action) en raison de l'abandon de certaines de nos activités à effet de levier en Europe.

Les résultats de la Banque CIBC pour le quatrième trimestre de 2010 ont inclus des éléments d'importance qui, regroupés, ont donné lieu à une incidence négative représentant 0,49 $ par action.

La Banque CIBC a comptabilisé un bénéfice net de 794 M$ pour le quatrième trimestre de 2011, en comparaison d'un bénéfice net de 808 M$ pour le troisième trimestre terminé le 31 juillet 2011. Le bénéfice dilué par action de 1,89 $ et le bénéfice dilué par action (comptabilité de caisse) de 1,91 $1 du quatrième trimestre de 2011 se comparaient au bénéfice dilué par action de 1,89 $ et au bénéfice dilué par action (comptabilité de caisse) de 1,91 $1 du trimestre précédent.

Pour l'exercice clos le 31 octobre 2011, la Banque CIBC a constaté un bénéfice net de 3,1 G$, un bénéfice dilué par action de 7,31 $ et un bénéfice dilué par action (comptabilité de caisse) de 7,39 $1 qui englobaient des éléments d'importance qui, regroupés, représentaient une incidence négative de 0,12 $ par action. Ces résultats se comparent à un bénéfice net de 2,5 G$, à un bénéfice dilué par action de 5,87 $ et à un bénéfice dilué par action (comptabilité de caisse) de 5,95 $1 pour 2010 qui englobaient des éléments d'importance qui, regroupés, représentaient une incidence négative de 0,50 $ par action.

La Banque CIBC a affiché un bon rendement des capitaux propres de 21,3 % pour l'exercice clos le 31 octobre 2011 et un solide ratio de fonds propres de première catégorie de 14,7 % au 31 octobre 2011.

1) Pour plus de précisions, voir la section Mesures non conformes aux PCGR.

« La Banque CIBC a enregistré de solides résultats dans l'ensemble de ses activités en 2011, témoignant de l'importance accordée aux clients ainsi qu'aux fondements qui appuient nos activités, précise Gerry McCaughey, président et chef de la direction de la Banque CIBC. Notre position de fonds propres continue d'être parmi les meilleures de toutes les banques mondiales et nous poursuivons la croissance de nos activités en investissant dans la croissance interne et au moyen d'acquisitions. Nos résultats financiers rendent compte du principe de base et de la direction stratégique de la Banque CIBC d'être une banque à faible risque par la création de valeur pour les actionnaires et d'obtenir un rendement constant et durable à long terme. »

Performance par rapport aux objectifs

Progrès par rapport aux priorités

Leadership du marché dans nos activités essentielles

Les Services bancaires de détail et Services bancaires aux entreprises ont comptabilisé un bénéfice net de 2,1 G$ en 2011, en hausse par rapport à 1,8 G$ en 2010. Cette croissance de 15 % du bénéfice est attribuable à la hausse des revenus tirés des services bancaires personnels et des services bancaires aux entreprises, ainsi qu'à la baisse des pertes sur créances.

Les Services bancaires de détail et les Services bancaires aux entreprises ont continué en 2011 à cibler leurs placements pour offrir un meilleur accès et un plus grand choix à nos clients quant au moment où ils effectuent leurs opérations bancaires quotidiennes et à la façon dont ils le font :

• Nous avons été la première banque au Canada à offrir une application mobile de négociation d'actions à partir de téléphones intelligents.
• Nous nous sommes fait décerner la distinction « Meilleurs services bancaires mobiles - services bancaires électroniques aux consommateurs » à l'échelle internationale par le magazine Global Finance.
• Nous avons célébré l'ouverture de plus de 100 nouveaux centres bancaires au cours des quatre dernières années.
• Nous sommes devenus le principal émetteur de deux types de cartes de crédit, soit Visa et MasterCard, au Canada avec la conclusion de l'acquisition du portefeuille de cartes de crédit MasterCard de Citigroup Canada.
• Nous avons porté une attention accrue aux services bancaires aux entreprises, ce qui s'est traduit par une hausse des volumes et des soldes de prêts supérieurs à ceux du marché.

« À la fin de l'exercice 2011, nos activités sont bien positionnées, déclare David Williamson, chef de groupe, Services bancaires de détail et Services bancaires aux entreprises. Nous avons construit et rénové d'autres centres bancaires, nous avons prolongé les heures d'ouverture, nous avons lancé de nouveaux produits et nous avons renforcé notre position de leader en services bancaires mobiles grâce à notre application Conseiller en habitation CIBC et à notre application de négociation d'actions.

« Pour renforcer nos activités à compter de 2012, nos priorités seront de resserrer les relations avec les clients, d'améliorer notre potentiel de vente et de service et d'attirer et de fidéliser les clients qui souhaitent des relations plus solides et enrichissantes », ajoute-t-il.

Le bénéfice net de Gestion des avoirs a atteint 279 M$ en 2011, en hausse par rapport à 225 M$ en 2010. La croissance de 24 % du bénéfice résulte principalement de l'accroissement des revenus d'honoraires, des produits tirés des marges et des commissions découlant des nouvelles émissions et des activités de négociation de titres, ainsi que de la hausse des actifs sous gestion de clients attribuable surtout à l'amélioration des marchés financiers et à la hausse des ventes nettes de fonds communs de placement à long terme.

Gestion des avoirs a affermi ses activités sur de nombreux fronts en 2011 à l'appui de ses priorités stratégiques consistant à fournir aux clients des solutions-conseils solides, une excellente expérience client et des produits concurrentiels. Voici les principaux points saillants :

• Acquisition d'une participation en actions de 41 % dans American Century Investments, qui vient compléter les solides activités de gestion des actifs canadiens de la Banque CIBC et fournit une plateforme pour la croissance de la Banque CIBC à l'échelle internationale;
• Croissance record de 44 % des ventes nettes de fonds communs de placement à long terme;
• Classement de CIBC Wood Gundy au deuxième rang dans la catégorie courtage de plein exercice et accroissement marqué de la satisfaction de sa clientèle.
• Expansion de notre réseau de services Gestion privée de patrimoine CIBC dans quatre villes au Canada;
• Lancement d'une tarification de fidélisation novatrice à l'intention des clients de Pro Investisseurs CIBC;

« Des revenus d'honoraires stables, la productivité du capital et des tendances de consommation favorables, comme le vieillissement de la population et des taux d'épargne plus élevés, rendent l'offre globale de gestion d'actifs très attrayante, précise Victor Dodig, chef de groupe, Gestion des avoirs. Nous continuerons d'investir dans notre plateforme Gestion des avoirs, à l'échelle nationale et internationale, afin d'améliorer notre offre aux clients tout en bonifiant le rendement pour les actionnaires. »

Services bancaires de gros a inscrit un bénéfice net de 565 M$ en 2011, contre 342 M$ en 2010, ce qui représente une hausse de 223 M$, ou 65 %, attribuable surtout à une hausse des revenus des services financiers aux entreprises et de Banque d'investissement, à une baisse de la dotation à la provision pour pertes sur créances et à une diminution du taux d'imposition réel, annulées en partie par l'augmentation des frais autres que d'intérêts.

L'objectif de Services bancaires de gros est d'être la banque qui offre des services bancaires de gros de premier plan axés sur les clients, basée au Canada, réputée pour son rendement constant et durable et sa croissance à risque contrôlé, et reconnue pour sa bonne gestion ainsi que son excellence dans toutes ses activités. En 2011, Services bancaires de gros a accompli ce qui suit :

• Maintien de sa position de leader au Canada dans des secteurs clés comme les fusions et acquisitions, les activités de prise ferme de titres d'emprunt et sur le marché des prêts syndiqués, et amélioration de la position dans les activités de prise ferme d'actions;
• Responsable ou co-responsable dans des opérations d'envergure en Banque d'investissement, et plus particulièrement le placement de 962 M$ d'Intact Corporation financière et le placement de 578 M$ de Brookfield Asset Management;
• Classement au premier rang pour ce qui est de la part de marché de la négociation de titres tant en termes de volume que de valeur;
• Accroissement des capacités de prêt au secteur de l'énergie aux États-Unis afin de servir plus efficacement les clients actuels et nouveaux;
• Accent accru sur les infrastructures, l'équipe de financement de projets agissant à titre de responsable, de co-responsable, ou de participant au financement par emprunt ou de conseiller pour de nombreux projets dans divers secteurs comme l'énergie renouvelable, l'énergie conventionnelle, la distribution et le transport d'énergie, les soins de santé, la justice et le transport.

« Services bancaires de gros a continué à générer un rendement constant à risque contrôlé en 2011, malgré la volatilité continue des marchés mondiaux », précise Richard Nesbitt, chef de groupe, Services bancaires de gros, Opérations internationales et Technologie et opérations.

Au cours de 2011, la Banque CIBC a poursuivi la gestion active et la réduction de son portefeuille de crédit structuré en voie de liquidation. En 2011, les montants nominaux de référence de nos positions ont diminué de 18,4 G$ en raison de la vente ou de la liquidation de positions et des règlements auprès des garants financiers. Le reste du portefeuille, composé essentiellement d'obligations structurées adossées à des prêts et de titres de créance d'entreprises, a enregistré de faibles taux de défaillance des actifs sous-jacents donnés en garantie et a continué de bénéficier d'importants privilèges d'antériorité.

Fondements solides

La Banque CIBC a continué de raffermir ses assises, tout en investissant dans ses activités essentielles. En 2011, la Banque CIBC a amélioré la solidité de ses fonds propres et a conservé des mesures de productivité concurrentielle et une saine gestion des risques.

• Les ratios de fonds propres de la Banque CIBC sont solides, notamment le ratio de fonds propres de première catégorie et le ratio de capitaux propres corporels1 s'établissant respectivement à 14,7 % et 11,4 % au 31 octobre 2011, en hausse par rapport à 13,9 % et 9,9 % il y a un an;
• La qualité du crédit s'est nettement améliorée, le coefficient des pertes sur créances de la Banque CIBC ayant diminué pour s'établir à 48 points de base1 calculé selon une approche dirigée en 2011 contre 56 points de base1 en 2010;
• Le risque de marché, calculé selon la valeur à risque (VAR) moyenne, a atteint 6,5 M$ en 2011 contre 4,2 M$ en 2010.

La Banque CIBC est en bonne voie de dépasser les nouvelles exigences de fonds propres réglementaires et de liquidités proposées par le Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, soit bien avant le calendrier de mise en œuvre. Le ratio de fonds propres pro forma de la CIBC de 8,1 % dépasse déjà le niveau minimal requis de 7 % de 2019. Au cours de l'exercice, nous avons été autorisés à traiter un montant d'environ 880 M$ d'actions privilégiées convertibles comme instruments de fonds propres d'urgence en cas de non-viabilité, optimisant davantage notre structure de capital à long terme selon Bâle III.

« La direction stratégique de la CIBC est d'obtenir un rendement constant et durable à long terme, ajoute M. McCaughey. Cette direction continue de guider nos activités, que ce soit pour améliorer nos activités en cours, saisir les occasions de croissance future ou maintenir notre profil de risque. Elle a également permis à la Banque CIBC de bien se positionner malgré la volatilité des marchés, le ralentissement de l'économie mondiale et l'évolution constante du secteur des services financiers. »

1) Pour plus de précisions, voir la section Mesures non conformes aux PCGR.

Points saillants financiers du quatrième trimestre

Revue des résultats au quatrième trimestre de la Banque CIBC

Le bénéfice net a atteint 794 M$, en hausse de 294 M$ par rapport au quatrième trimestre de 2010, et en baisse de 14 M$ en regard du trimestre précédent.

Le revenu net d'intérêts s'est fixé à 1 605 M$, une diminution de 40 M$, comparativement au quatrième trimestre de 2010, en raison surtout du resserrement des marges, atténué en partie par la croissance des volumes dans la plupart des produits de détail, y compris l'incidence de l'acquisition du portefeuille de cartes de crédit MasterCard, et de la montée du revenu net d'intérêts des activités de négociation. Le revenu d'intérêts sur les nouvelles cotisations d'impôt a aussi été inférieur au trimestre considéré. Le revenu net d'intérêts a reculé de 2 M$ par rapport au trimestre précédent, du fait surtout du resserrement des marges dans la plupart des produits de détail, en grande partie contrebalancé par la croissance des volumes et la montée du revenu net d'intérêts des activités de négociation.

Le revenu autre que d'intérêts a atteint 1 597 M$, en baisse de 12 M$ par rapport au quatrième trimestre de 2010. Les résultats du trimestre correspondant de l'exercice précédent comprenaient des gains de change de 411 M$ sur les activités de rapatriement de capitaux. Les résultats du trimestre considéré ont été avantagés par le recul des pertes découlant des valeurs mobilières désignées à la juste valeur dans les activités de crédit structuré en voie de liquidation, les gains accrus réalisés sur les valeurs disponibles à la vente, déduction faite des réductions de valeur, et la hausse du revenu tiré des activités de titrisation, compensée en partie par une baisse des honoraires d'administration des cartes. Le revenu autre que d'intérêts a augmenté de 147 M$ par rapport au trimestre précédent en raison surtout des gains accrus réalisés sur les valeurs disponibles à la vente, déduction faite des réductions de valeur, et de la hausse du revenu tiré des activités de titrisation, compensés en partie par une baisse des honoraires de prise ferme et de consultation.

La dotation à la provision pour pertes sur créances s'est élevée à 243 M$, soit une hausse de 93 M$ par rapport au quatrième trimestre de 2010, surtout en raison de la hausse des provisions dans le portefeuille CIBC FirstCaribbean et de l'abandon de certaines de nos activités à effet de levier en Europe, et du changement apporté à la dotation à la provision générale pour pertes sur créances par suite de la stabilisation des niveaux de pertes dans le portefeuille de cartes de crédit Visa. La dotation à la provision pour pertes sur créances a augmenté de 48 M$ comparativement au trimestre précédent. La dotation à la provision spécifique pour pertes sur créances a augmenté, sous l'effet principalement d'une hausse de la provision dans le portefeuille CIBC FirstCaribbean et de l'abandon de certaines de nos activités à effet de levier en Europe, neutralisés en partie par une amélioration de nos portefeuilles au Canada. La dotation à la provision générale pour pertes sur créances a subi une variation négative de 23 M$, sous l'effet surtout de la titrisation de notre portefeuille de cartes de crédit Visa au trimestre précédent, en partie atténuée par une amélioration du profil de risque de crédit dans les portefeuilles de prêts aux entreprises et aux gouvernements.

Les frais autres que d'intérêts ont augmenté de 54 M$ par rapport au quatrième trimestre de 2010, pour atteindre 1 914 M$, en raison surtout d'une hausse de la rémunération liée au rendement et des charges liées à la vente d'un investissement du portefeuille de Banque d'affaires, et de l'augmentation des charges de retraite, contrebalancées en partie par une baisse des impôts et taxes sur le capital. Les frais autres que d'intérêts ont augmenté de 94 M$ par rapport au trimestre précédent, en raison surtout des charges liées à la vente d'un investissement du portefeuille de Banque d'affaires, et des frais d'occupation et des honoraires plus élevés.

La charge d'impôts sur les bénéfices a reculé pour se fixer à 249 M$ au quatrième trimestre de 2011 par rapport à 742 M$ il y a un an, surtout par suite de la charge d'impôts de 528 M$ sur les activités de rapatriement de capitaux engagée au cours du trimestre correspondant de l'exercice précédent. La charge d'impôts sur les bénéfices a progressé de 18 M$ en regard du trimestre précédent.

Revue des résultats du quatrième trimestre de Services bancaires de détail et Services bancaires aux entreprises

1) Pour plus de précisions, voir la section Mesures non conformes aux PCGR.

Le bénéfice net s'est établi à 580 M$, en hausse de 75 M$ par rapport au quatrième trimestre de 2010.

Les revenus ont atteint 2 061 M$, une hausse de 100 M$ par rapport au quatrième trimestre de 2010 attribuable surtout à une progression des revenus de trésorerie répartis, à une croissance des volumes dans la plupart des secteurs d'activité, et à la hausse des honoraires, en partie atténuées par le resserrement des marges.

La dotation à la provision pour pertes sur créances a atteint 266 M$, une hausse de 25 M$ par rapport au quatrième trimestre de 2010 surtout attribuable aux pertes, tel qu'il est prévu, découlant de l'acquisition du portefeuille de cartes de crédit MasterCard, en partie atténuées par le nombre réduit de faillites et de radiations dans la plupart des produits.

Les frais autres que d'intérêts ont augmenté de 14 M$ par rapport au quatrième trimestre de 2010 pour atteindre 1 031 M$ principalement par suite de la hausse des charges de retraite et des salaires.

La charge d'impôts de 184 M$ a reculé de 14 M$ comparativement au quatrième trimestre de 2010 en raison de la diminution du taux d'imposition, en partie contrebalancée par l'augmentation des bénéfices avant impôts.

Revue des résultats du quatrième trimestre de Gestion des avoirs

1) Pour plus de précisions, voir la section Mesures non conformes aux PCGR.

Le bénéfice net s'est établi à 65 M$ pour le trimestre considéré, en hausse de 11 M$ par rapport au quatrième trimestre de 2010.

Les revenus ont atteint 396 M$, ce qui représente une hausse de 18 M$ par rapport au quatrième trimestre de 2010 principalement imputable à la montée des revenus de gestion d'actifs découlant de la croissance des biens sous gestion de clients en raison de l'amélioration des marchés financiers.

Les frais autres que d'intérêts ont augmenté de 9 M$ par rapport au quatrième trimestre de 2010 pour atteindre 307 M$ principalement par suite de la hausse de la rémunération liée au rendement et des charges de retraite.

Revue des résultats du quatrième trimestre de Services bancaires de gros

Le bénéfice net de 172 M$ pour le trimestre se compare au bénéfice net de 145 M$ pour le troisième trimestre de 2011.

Les revenus ont atteint 557 M$, soit une progression de 103 M$ par rapport au troisième trimestre de 2011 principalement en raison de la hausse des gains de Banque d'affaires et du revenu des activités de négociation des devises, en partie atténuée par les revenus moindres tirés des nouvelles émissions d'actions et des honoraires de consultation.

La dotation à la provision pour pertes sur créances a progressé de 21 M$ par rapport au troisième trimestre de 2011 pour se fixer à 27 M$ du fait essentiellement des pertes plus élevées de notre portefeuille de financement à effet de levier en Europe.

Les frais autres que d'intérêts ont augmenté de 36 M$ par rapport au troisième trimestre de 2011 pour atteindre 330 M$ principalement par suite de la hausse de la rémunération liée au rendement.

La charge d'impôts sur les bénéfices a atteint 28 M$, comparativement à 8 M$ pour le troisième trimestre de 2011, du fait de la hausse des bénéfices avant impôts.

Revue des résultats du quatrième trimestre du groupe Siège social et autres

La perte nette pour le trimestre s'est établie à 23 M$, contre une perte nette de 3 M$ pour le quatrième trimestre de 2010.

Les revenus ont atteint 188 M$, en baisse de 489 M$ par rapport au quatrième trimestre de 2010. Les résultats du trimestre correspondant de l'exercice précédent comprenaient un gain de change sur les activités de rapatriement de capitaux.

La reprise de pertes sur créances a reculé de 50 M$ par rapport au quatrième trimestre de 2010, du fait surtout d'une diminution des reprises de pertes sur créances inscrite à la provision générale pour les portefeuilles de cartes de crédit et de prêts aux entreprises et aux gouvernements.

Les frais autres que d'intérêts, qui se sont établis à 246 M$, ont augmenté de 28 M$ comparativement au quatrième trimestre de 2010, surtout en raison de la hausse des coûts de soutien du siège social non répartis.

La charge d'impôts sur les bénéfices s'est fixée à 13 M$, ce qui représente un recul de 547 M$ par rapport au quatrième trimestre de 2010. Les résultats du trimestre correspondant de l'exercice précédent comprenaient l'incidence fiscale liée aux activités de rapatriement du capital.

Apporter davantage à nos collectivités

Au rang des chefs de file de l'investissement communautaire, la Banque CIBC appuie des causes qui comptent dans la vie de ses clients et de ses employés ainsi que pour les collectivités où elle exerce ses activités. Au cours du quatrième trimestre de 2011 :

• La Banque CIBC a été nommée le partenaire principal des Jeux panaméricains et parapanaméricains 2015, compétitions multisports parmi les plus importantes à l'échelle mondiale, qui auront lieu dans la région de Toronto et banlieue en juillet et août 2015. Le partenariat de la Banque CIBC aux Jeux de 2015 comprend des antécédents solides en mobilisation et animation communautaires, des manifestations culturelles et célébrations de victoires, des programmes d'investissement communautaire et de soutien aux athlètes, ainsi qu'une stratégie nationale complète de marketing.
  
  
• La Banque CIBC a été pour une 15e année commanditaire de La Course à la vie CIBC de la Fondation canadienne du cancer du sein, laquelle a recueilli cette année plus de 30 M$. Dans 60 collectivités à l'échelle du pays, plus de 170 000 personnes ont pris part à l'activité. Pour sa part, l'Équipe CIBC a recueilli 3 M$, incluant les promesses de don des employés, de leurs familles et de leurs amis, les collectes de fonds, ainsi que le produit de la vente de la Collection rose CIBCMC de 2011,ce qui a porté le montant recueilli par l'Équipe CIBC depuis 1992 à près de 30 M$.
  
  
• Les employés de la Banque CIBC d'Ottawa, de Calgary et de Toronto ont recueilli plus de 150 000 $ pour financer la recherche, le traitement et les soins liés aux cancers féminins en participant au Week-end pour vaincre les cancers féminins, ce qui porte le total des fonds recueillis depuis 2003 à 1,3 M$.
  
  
• Trente étudiants de 4e secondaire ont reçu des bourses d'études VisionJeunesse CIBCMC, valant jusqu'à 36 000 $ chacune. Jusqu'à maintenant, la Banque CIBC s'est engagée à verser plus de 12 M$ pour soutenir les lauréats des bourses d'études VisionJeunesse CIBCMC et les aider à concrétiser leurs rêves de poursuivre des études postsecondaires.
  
  
• La Banque CIBC a fait un don de 500 000 $ pour aider à la construction du nouvel hôpital d'Oakville. Ce don aidera au financement d'équipement essentiel au soutien de soins améliorés et coordonnés pour les patients atteints de cancer, depuis la détection précoce jusqu'au diagnostic et au traitement, en particulier au service d'imagerie diagnostique du nouvel hôpital.
  
  
• La Banque CIBC a fait un don de 500 000 $ à l'Assiniboine Park Conservancy pour la campagne Imagine a Place visant la construction du nouveau Qualico Family Centre. Une fois terminé, le centre sera la plaque tournante du parc Assiniboine et pourra accueillir une panoplie d'activités et de programmes d'engagement envers les collectivités.
  
  
• Les employés de la Banque CIBC ont recueilli 500 000 $ pour la Fondation de la recherche sur le diabète juvénile, dont plus de 390 000 $ ont été amassés par 1 600 employés qui ont participé à l'activité Roulons pour la recherche sur le diabète 2011 dans 10 collectivités au Canada.

« Nos employés demeurent l'élément clé de notre succès, ajoute M. McCaughey. Par leur dévouement et leur engagement, ils nous ont menés au point où nous en sommes aujourd'hui et j'aimerais les remercier pour leur contribution en 2011. »

 1) Certaines informations des exercices précédents ont été retraitées pour rendre leur présentation conforme à celle adoptée pour l'exercice considéré.

1) Mesures non conformes aux PCGR

Nous recourons à différentes mesures financières pour évaluer le rendement de nos secteurs d'activité. Certaines mesures sont calculées conformément aux principes comptables généralement reconnus (PCGR), tandis que d'autres n'ont pas de signification normalisée en vertu des PCGR et pourraient ne pas être comparables à des mesures similaires utilisées par d'autres sociétés. Ces mesures non conformes aux PCGR peuvent être utiles aux investisseurs pour l'analyse du rendement financier. Pour plus de renseignements sur nos mesures non conformes aux PCGR, se reporter à la page 39 du Rapport annuel CIBC 2011.

Le tableau suivant présente un rapprochement entre les mesures non conformes aux PCGR et les mesures conformes aux PCGR se rapportant à la CIBC consolidée. Pour plus de précisions sur le rapprochement annuel entre les mesures non conformes aux PCGR et les mesures conformes aux PCGR, se reporter à la page 40 du Rapport annuel CIBC 2011. Les rapprochements des mesures non conformes aux PCGR par unités d'exploitation stratégique sont présentés dans leur section respective.

1)   Mesures non conformes aux PCGR.

Mode de présentation

Les états financiers consolidés intermédiaires, présentés dans le présent communiqué de presse, ont été dressés selon les PCGR du Canada. Les résultats financiers intermédiaires trimestriels, tels qu'ils sont présentés dans ces états financiers, ne sont pas audités, alors que les résultats financiers annuels au 31 octobre ou pour l'exercice clos le 31 octobre sont issus d'états financiers audités. Les présents états financiers intermédiaires sont dressés selon les mêmes méthodes et conventions comptables que celles utilisées pour dresser les états financiers consolidés de la CIBC de l'exercice clos le 31 octobre 2011.

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L'information figurant ci-dessous fait partie du présent communiqué de presse.

Les informations contenues dans le site Web de la Banque CIBC, à l'adresse www.cibc.com/francais, ne sont pas réputées être intégrées aux présentes par renvoi.

(Le conseil d'administration de la Banque CIBC a passé en revue le présent communiqué de presse avant sa publication.)

Un mot sur les énoncés prospectifs
De temps à autre, nous faisons des énoncés prospectifs écrits ou oraux au sens de certaines lois en matière de valeurs mobilières, y compris le présent communiqué de presse, dans d'autres documents déposés auprès d'organismes de réglementation en valeurs mobilières canadiens ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, et dans d'autres communications. Ces énoncés comprennent, sans toutefois s'y limiter, des déclarations concernant les activités, les secteurs d'activité, la situation financière, la gestion des risques, les priorités, les cibles, les objectifs permanents ainsi que les stratégies et perspectives de la Banque CIBC pour 2012 et les exercices subséquents. Ces énoncés se reconnaissent habituellement à l'emploi de termes comme « croire », « prévoir », « compter », « s'attendre à », « estimer » et d'autres expressions de même nature et de verbes au futur et au conditionnel. De par leur nature, ces énoncés prospectifs nous obligent à faire des hypothèses et sont assujettis aux risques inhérents et aux incertitudes qui peuvent être de nature générale ou spécifique. Divers facteurs, dont nombre sont indépendants de notre volonté, influent sur nos activités, notre rendement et nos résultats et pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent considérablement de ceux avancés dans les énoncés prospectifs. Ces facteurs comprennent : le risque de crédit, le risque de marché, le risque d'illiquidité, le risque stratégique, le risque opérationnel, les risques juridiques et de réputation, le risque de réglementation et le risque environnemental; des changements d'ordre législatif ou réglementaire dans les territoires où nous exerçons nos activités; les changements apportés aux lignes directrices relatives aux fonds propres pondérés en fonction du risque et aux directives d'information, et leur interprétation; l'issue de poursuites et des questions connexes; l'incidence de modifications des normes comptables et des règles et leur interprétation; les changements apportés au montant estimé des réserves et provisions; l'évolution des lois fiscales; la situation ou les changements politiques; l'incidence possible de conflits internationaux et de la guerre au terrorisme, des catastrophes naturelles, des urgences en matière de santé publique, des perturbations occasionnées aux infrastructures des services publics et toute autre catastrophe sur nos activités; la fiabilité de tiers à fournir les infrastructures nécessaires à nos activités; l'exactitude et l'exhaustivité de l'information qui nous est fournie par nos clients et contreparties; le défaut de tiers de remplir leurs obligations envers nous ou nos sociétés affiliées; l'intensification de la concurrence livrée par des concurrents existants ou de nouveaux venus dans le secteur des services financiers; l'évolution des technologies; la tenue des marchés financiers mondiaux; les changements à la politique monétaire et économique; les fluctuations de change; la conjoncture économique mondiale et celle du Canada, des États-Unis et d'autres pays où nous menons nos activités; les changements de prix et de taux du marché qui pourraient réduire la valeur des produits financiers; notre capacité à élaborer et à lancer des produits et services, à élargir nos canaux de distribution existants et à en créer de nouveaux, et à accroître les revenus que nous en tirons; les changements des habitudes des clients en matière de consommation et d'économie; notre capacité d'attirer et de retenir des employés et des cadres clés; notre capacité à réaliser nos stratégies et à mener à terme nos acquisitions et à intégrer les sociétés acquises et les coentreprises et notre capacité à anticiper et à gérer les risques associés à ces facteurs. Cette énumération ne couvre pas tous les facteurs susceptibles d'influer sur nos énoncés prospectifs. Aussi ces facteurs et d'autres doivent-ils éclairer la lecture des énoncés prospectifs sans toutefois que les lecteurs ne s'y fient indûment. Nous ne nous engageons à mettre à jour aucun énoncé prospectif du présent communiqué de presse ou d'autres communications, sauf si la loi l'exige.

Renseignements :

Les investisseurs et les analystes peuvent obtenir de plus amples renseignements auprès de Geoff Weiss, vice-président, Relations avec les investisseurs, au 416 980-5093. Les médias sont priés de s'adresser à Rob McLeod, premier directeur, Communications et affaires publiques, au 416 980-3714, ou à Mary Lou Frazer, première directrice, Communications financières et Communications avec les investisseurs, au 416 980-4111.