Communiqué de presse

Le 5 août 2018

RÉSULTATS FINANCIERS DE LA BANQUE HSBC CANADA

POUR LE DEUXIÈME TRIMESTRE DE 2018

Les investissements dans nos activités ont mené à une forte hausse du total du résultat d'exploitation, soit 14,9 % pour le trimestre et 10,9 % pour le semestre

Trimestre clos le 30 juin1, 2:

  • - Total du résultat d'exploitation :hausse de 74 M$, ou 14,9 %

  • - Bénéfice avant la charge d'impôt sur le résultat :augmentation de 19 M$, ou 8,3 %

  • - Bénéfice attribuable à l'actionnaire ordinaire :augmentation de 13 M$, ou 8,2 %

  • -Rendement des capitaux propres moyens attribuables à l'actionnaire ordinaire3:14,7 % (13,3 % en 2017)

  • - Levier d'exploitation/effet ciseau3: 9,9 % ((11,2) % en 2017)

Semestre clos le 30 juin1, 2:

  • - Total du résultat d'exploitation :hausse de 109 M$, ou 10,9 %

  • -Bénéfice avant la charge d'impôt sur le résultat :augmentation de 27 M$, ou 5,7 %

  • -Bénéfice attribuable à l'actionnaire ordinaire :augmentation de 9 M$, ou 2,7 %

  • - Rendement des capitaux propres moyens attribuables à l'actionnaire ordinaire3:14,7 % (14,4 % en 2017)

  • -Levier d'exploitation/effet ciseau3:7,3 % ((10,8) % en 2017)

Au 30 juin 20182:

  • -Total de l'actif :100,5 G$ (96,4 G$ au 31 décembre 2017)

  • - Ratio des capitaux propres ordinaires de catégorie 1 :10,9 % (10,5 % au 31 décembre 2017)

  • - Ratio du capital de catégorie 1 :13,0 % (12,4 % au 31 décembre 2017)

  • - Ratio du capital total :15,6 % (14,7 % au 31 décembre 2017)

Les abréviations « M$ » et « G$ » signifient millions et milliards de dollars canadiens, respectivement.

  • 1 Comparaison du trimestre et du semestre clos le 30 juin 2018 et des périodes correspondantes de l'exercice précédent (sauf indication contraire).

  • 2 En date du 1erjanvier 2018, la banque a adoptéIFRS 9 Instruments financiers(« IFRS 9 ») de manière rétrospective sans retraiter les chiffres des périodes précédentes. Les résultats de ces périodes sont présentés conformément à IAS 39 Instruments financiers : Comptabilisation et évaluation(« IAS 39 »).

  • 3 Pour évaluer sa performance, la banque utilise, entre autres, des mesures financières dérivées des résultats qu'elle publie. Or, ces mesures ne sont ni présentées dans les états financiers ni définies aux termes des IFRS. Elles sont considérées comme non conformes aux IFRS; il est donc improbable qu'elles soient comparables à des mesures semblables présentées par d'autres entreprises. Pour plus d'informations au sujet des mesures non conformes aux IFRS, voir le rapport intermédiaire du deuxième trimestre de 2018.

Le présent communiqué est publié parLa Banque HSBC Canada

Siège social: 885, rue Georgia Ouest, Vancouver, (C. B.), Canada

Web:www.hsbc.ca

Aperçu1,2

La Banque HSBC Canada a poursuivi sur sa lancée, comme le démontre son résultat d'exploitation qui a augmenté de 74 M$, ou 14,9 %, pour le deuxième trimestre de 2018 et de 109 M$, ou 10,9 %, pour la première moitié de l'exercice. Nos résultats témoignent de la solide performance de tous nos secteurs d'activité mondiaux, qui s'explique par l'augmentation des prêts, l'incidence positive de la hausse des taux d'intérêt et l'accroissement des produits de négociation.

Le secteur des services aux entreprises a enregistré sa plus forte hausse des soldes des prêts depuis 2010, et plusieurs segments de ce secteur, dont celui de la région de l'Ontario, de l'immobilier commercial et des services bancaires aux filiales internationales, ont enregistré une hausse d'au moins 10 % de leur résultat d'exploitation, ce qui lui a permis d'augmenter son propre résultat d'exploitation de 23 M$, ou 10,6 %, et de 33 M$, ou 7,6 %, pour le trimestre et le semestre, respectivement. Dans le cas du secteur des services bancaires internationaux et marchés, l'augmentation des ventes de dérivés associées aux produits de taux d'intérêt et de change, les transactions sur le marché des capitaux d'emprunt destinés aux infrastructures ainsi que l'accroissement des produits d'intérêts ont donné lieu à une hausse de son résultat d'exploitation de 24 M$, ou 35,3 %, et de 26 M$, ou 18,8 %, pour le trimestre et le semestre, respectivement. Quant au secteur des services bancaires de détail et gestion de patrimoine, le total des soldes des comptes des clients (à savoir les soldes des prêts, des dépôts et des comptes de gestion de patrimoine) a poursuivi sa hausse et sa part du marché des dépôts et des prêts hypothécaires a progressé, ce qui s'est traduit par une augmentation de son résultat d'exploitation de 16 M$, ou 9,5 %, et de 35 M$, ou 10,8 %, pour le trimestre et le semestre, respectivement.

Un très bon rendement sur le plan du crédit a fait en sorte que la variation des pertes de crédit attendues2, nous a permis de demeurer en position de reprise nette, la reprise ayant toutefois été considérablement moins élevée qu'en 2017.

Nous continuons d'investir afin d'assurer la croissance de notre entreprise et de rendre nos services bancaires encore plus pratiques pour nos clients. Les charges d'exploitation ont augmenté de 16 M$, ou 5 %, au deuxième trimestre et de 23 M$, ou 3,7 %, au premier semestre de l'exercice. Celles du centre général commencent à diminuer puisque certains projets de restructuration et de rationalisation menés de 2015 à 2017 sont maintenant terminés.

En guise de commentaire sur les résultats, Sandra Stuart, présidente et chef de la direction de la Banque HSBC Canada, a fait la déclaration suivante : « Nos investissements dans la poursuite de notre croissance continuent de porter leurs fruits puisque nos secteurs d'activité ont tous accompli de grands progrès dans la réalisation de notre stratégie. Comparativement à ceux enregistrés au trimestre correspondant de 2017, les revenus ont augmenté de 14,9 % et le bénéfice avant la charge d'impôt s'est accru de 8,3 %. Pour la première fois de notre histoire, notre actif dépasse les 100 G$. Ce résultat est en grande partie imputable à la forte hausse des soldes des prêts du secteur des services aux entreprises et à celle des prêts hypothécaires résidentiels. En outre, le rendement des capitaux propres moyens attribuables à l'actionnaire ordinaire s'est amélioré, passant de 13,3 % au trimestre correspondant de l'exercice précédent à 14,7 %.

Nous avons poursuivi nos efforts afin de rendre nos services bancaires plus commodes pour notre clientèle. Parallèlement, nous simplifions et automatisons nos processus afin que nos employés aient davantage de temps à consacrer à nos clients. Ce travail est particulièrement important puisque nous aidons les entreprises canadiennes de toute taille à faire leur place dans un contexte commercial en forte évolution et à étendre leurs activités auprès de plusieurs types de partenaires commerciaux, et ce, tout en relevant les défis que pose la conjoncture. »

  • 1 Comparaison du trimestre et du semestre clos le 30 juin 2018 et des périodes correspondantes de l'exercice précédent (sauf indication contraire).

  • 2 En date du 1erjanvier 2018, la banque a adopté IFRS 9 de manière rétrospective sans retraiter les chiffres des périodes précédentes. Les résultats de ces périodes

  • sont présentés conformément à IAS 39. Aux termes d'IFRS 9, l'expression « Variation des pertes de crédit attendues » est utilisée, alors qu'avant le 1erjanvier 2018 et en vertu d'IAS 39, l'expression correspondante « Pertes de valeur liées aux prêts et autres provisions relatives aux risques de crédit » était employée.

Analyse des résultats financiers consolidés du deuxième trimestre et du premier semestre de 20181, 2

Lesproduits d'intérêts netsdu deuxième trimestre de 2018 se sont chiffrés à 319 M$, affichant une hausse de 34 M$, ou 11,9 %, comparativement à ceux de la période correspondante de 2017. Pour le premier semestre de 2018, les produits d'intérêts nets se sont établis à 625 M$, soit une hausse de 58 M$, ou 10,2 %, par rapport à ceux du semestre correspondant de l'exercice précédent. Les hausses enregistrées tant pour le trimestre que pour le semestre ont découlé notamment de l'accroissement marqué des prêts et des dépôts du secteur des services bancaires de détail et gestion de patrimoine ainsi que de l'augmentation des prêts et avances du secteur des services aux entreprises. En outre, nos marges se sont améliorées en raison des hausses de taux d'intérêt de la Banque du Canada en 2017 et au début de 2018. Ces facteurs ont été atténués par la réduction des recouvrements d'intérêts sur les prêts douteux et par la diminution des dépôts du secteur des services aux entreprises.

Lesproduits de commissions netsdu deuxième trimestre de 2018 se sont chiffrés à 179 M$, en hausse de 14 M$, ou 8,5 %, par rapport à ceux constatés à la période correspondante de 2017. Les produits de commissions nets du premier semestre de 2018 se sont établis à 334 M$, soit une hausse de 9 M$, ou 2,8 %, comparativement à ceux de la première moitié de 2017. Les hausses enregistrées pour le trimestre et le semestre s'expliquent par l'augmentation des commissions tirées des facilités de crédit et des cartes de crédit ainsi que par celle des commissions sur les prises fermes et les activités de facilitation des paiements du secteur des services bancaires internationaux et marchés. Ces facteurs ont été atténués par l'accroissement des charges de commissions résultant de meilleurs incitatifs et récompenses sur cartes de crédit ainsi que par l'augmentation des commissions de fiduciaire et de conseils en placement.

Lesproduits nets tirés des instruments financiers détenus à des fins de transactiondu deuxième trimestre de 2018 se sont établis à 39 M$, soit une hausse de 17 M$, ou 77,3 %, comparativement à ceux du trimestre correspondant de l'exercice précédent. Cette hausse a résulté principalement de l'accroissement des produits d'intérêts nets sur les activités de négociation auquel ont donné lieu les rendements plus élevés des instruments détenus à des fins de transaction. De plus, l'augmentation des ventes de dérivés associées aux produits de taux d'intérêt et de change a eu des répercussions positives et les couvertures inefficaces ont donné lieu à un profit pour l'exercice en cours, comparativement à une perte en 2017.

Les produits nets tirés des instruments financiers détenus à des fins de transaction du premier semestre de 2018 se sont chiffrés à 75 M$, ce qui représente une hausse de 22 M$, ou 41,5 %, comparativement à ceux enregistrés un an plus tôt, ce qui est imputable aux mêmes facteurs que ceux indiqués pour le trimestre.

Pour le deuxième trimestre de 2018, lesautres éléments de produitsont totalisé 33 M$, en hausse de 9 M$, ou 37,5 %. Quant aux autres éléments de produits du premier semestre de 2018, ils se sont établis à 77 M$, soit une hausse de 20 M$, ou 35,1 %, comparativement à ceux de la première moitié de 2017. Les hausses enregistrées pour le trimestre et le semestre proviennent surtout de l'augmentation des produits générés auprès d'autres entités du Groupe HSBC pour des travaux de mise au point de logiciels effectués par la banque ainsi que des profits plus élevés qui ont été réalisés à la cession de placements financiers par suite du rééquilibrage de son portefeuille d'actifs liquides.

Lavariation des pertes de crédit attenduespour le trimestre a consisté en une reprise de 11 M$, comparativement à des reprises sur pertes de valeur liées aux prêts et autres provisions relatives au crédit de 46 M$ pour la période correspondante de l'exercice précédent. Cette reprise pour le trimestre reflète surtout les reprises sur provisions auxquelles ont donné lieu de meilleures conditions de crédit pour certains clients du secteur des services énergétiques ainsi que l'amélioration des facteurs économiques prospectifs. Ces éléments ont été atténués par une perte de valeur de 10 M$ constatée à l'égard du portefeuille de prêts non productifs et liée essentiellement au secteur de la construction.

Pour le premier semestre, la variation des pertes de crédit attendues a donné lieu à une reprise de 39 M$, comparativement à des reprises sur pertes de valeur liées aux prêts et autres provisions relatives au crédit de 95 M$ pour la période correspondante de 2017. La reprise enregistrée pour l'exercice à ce jour est imputable à l'incidence des facteurs énoncés ci-dessus, à l'amélioration continue de la conjoncture dans plusieurs secteurs, soit plus particulièrement de celui des services énergétiques, ainsi qu'aux reprises sur corrections de valeur associées à certaines entreprises de construction et de sous-traitance ainsi qu'à des sociétés immobilières.

En 2017, le montant élevé des reprises avait découlé d'importantes reprises sur provisions spécifiques à l'égard de comptes du secteur pétrolier et gazier, ainsi que de reprises sur provisions collectives, ce qui témoignait alors d'améliorations généralisées de la qualité du crédit.

Letotal des charges d'exploitationdu deuxième trimestre de 2018 s'est situé à 334 M$, soit une hausse de 16 M$, ou 5 %, par rapport à celui du trimestre correspondant de l'exercice précédent. Cette hausse est imputable aux investissements stratégiques dans nos secteurs d'activité mondiaux afin de stimuler leur croissance, soit notamment ceux effectués dans nos ressources humaines et la technologie. Ce facteur a été contrebalancé en partie par la diminution des charges d'exploitation du centre général maintenant que certains projets de restructuration et de rationalisation menés de 2015 à 2017 sont terminés, ainsi que par la baisse des coûts attribuable à la réduction des locaux pour bureaux.

Le total des charges d'exploitation de la première moitié de 2018 a été de 652 M$, ce qui représente une hausse de 23 M$, ou 3,7 %, en regard de celui du semestre correspondant de 2017. Outre les facteurs qui ont influé sur les résultats du trimestre, une reprise sur provision ponctuelle avait été constatée au premier trimestre de 2018.

Pour le deuxième trimestre et la première moitié de 2018, laquote-part du résultat d'entreprises associéesa été de néant, comparativement à des profits respectifs de 4 M$ et de 3 M$ pour les périodes correspondantes de l'exercice précédent. Cette quote-part reflète les variations de la valeur des placements de la banque dans des fonds d'actions de sociétés fermées.

En ce qui concerne lacharge d'impôt sur le résultat, le taux d'imposition effectif pour le deuxième trimestre de 2018 a été de 27,1 %, ce qui se rapproche du taux prévu par la loi. Pour le trimestre correspondant de 2017, le taux d'imposition effectif avait été de 26,3 %.

  • 1 Comparaison du trimestre et du semestre clos le 30 juin 2018 et des périodes correspondantes de l'exercice précédent (sauf indication contraire).

  • 2 En date du 1erjanvier 2018, la banque a adopté IFRS 9 de manière rétrospective sans retraiter les chiffres des périodes précédentes. Les résultats de ces périodes

  • sont présentés conformément à IAS 39. Aux termes d'IFRS 9, l'expression « Variation des pertes de crédit attendues » est utilisée, alors qu'avant le 1erjanvier 2018 et en vertu d'IAS 39, l'expression correspondante « Pertes de valeur liées aux prêts et autres provisions relatives aux risques de crédit » était employée

Résultats des secteurs d'activité pour le deuxième trimestre et le premier semestre de 20181, 2

Services aux entreprises

Le total du résultat d'exploitation du secteur des services aux entreprises s'est établi à 239 M$ pour le deuxième trimestre de 2018, en hausse de 23 M$, ou 10,6 %, par rapport à celui du trimestre correspondant de 2017. Pour le premier semestre de 2018, il a été de 465 M$, ce qui constitue une hausse de 33 M$, ou 7,6 %, comparativement à celui du trimestre correspondant de l'exercice précédent. Ces hausses ont découlé de l'augmentation des produits d'intérêts nets tant pour le trimestre que pour le semestre, en raison de la progression des prêts et avances ainsi que de l'élargissement des marges par suite des hausses de taux d'intérêt de la Banque du Canada. Ces facteurs ont été contrebalancés en partie par la baisse des intérêts recouvrés sur les prêts douteux et des soldes des dépôts. En outre, les produits autres que d'intérêts se sont accrus au trimestre et au semestre grâce à la hausse des soldes des acceptations et des revenus générés par les swaps de taux d'intérêt et de devises.

Tirant parti de l'expansion amorcée en 2017, nous avons investi dans la transformation des activités de vente et avons rationalisé nos processus afin d'accroître le nombre de nouveaux clients et la pénétration des produits ainsi que de rehausser notre positionnement dans les grands corridors commerciaux. Par exemple, au cours du trimestre, nous avons doté notre application HSBCnet Mobile d'une fonction de reconnaissance faciale et nous avons lancé Aki, notre premier employé numérique, ce qui a permis d'accélérer les transactions courantes. Notre clientèle apprécie les efforts que nous déployons puisque l'augmentation des soldes des prêts n'a jamais été aussi forte depuis 2010 et que tous les clients ont, au cours du dernier mois, attribué à notre processus d'ouverture de compte au pays la cote « bon » ou « excellent ».

Pour le deuxième trimestre de 2018, le bénéfice avant la charge d'impôt sur le résultat s'est établi à 150 M$, en baisse de 18 M$, ou 10,7 %, en regard de ce qu'il était à la période correspondante de l'exercice précédent. Le bénéfice avant la charge d'impôt sur le résultat a été de 307 M$ au premier semestre de 2018, ce qui représente une baisse de 22 M$, ou 6,7 %, en comparaison de celui d'il y a un an. Ces baisses sont attribuables à la diminution des reprises sur pertes de crédit attendues et à l'augmentation des charges d'exploitation, laquelle était par ailleurs prévue et visait à stimuler la croissance du secteur. Ces facteurs ont été annulés en partie par la hausse du résultat d'exploitation.

Services bancaires internationaux et marchés

Le total du résultat d'exploitation du secteur des services bancaires internationaux et marchés s'est établi à 92 M$ au deuxième trimestre de 2018, soit une hausse de 24 M$, ou 35,3 %, par rapport à celui constaté à la période correspondante de l'exercice précédent. Pour le premier semestre, il s'est chiffré à 164 M$, soit une hausse de 26 M$, ou 18,8 %, en regard de ce qu'il était à la période correspondante de 2017. Ces hausses proviennent de l'augmentation des ventes de dérivés associées aux produits de taux d'intérêt et de change, des transactions sur le marché des capitaux d'emprunt destinés aux infrastructures ainsi que de l'accroissement des produits d'intérêts attribuable à l'incidence des hausses de taux d'intérêt.

Nous avons continué de tirer parti du réseau mondial de la HSBC pour offrir des produits et des solutions pouvant répondre aux besoins de nos clients mondiaux, concentrant ainsi nos efforts de croissance sur les corridors commerciaux de l'Amérique du Nord et de la Chine.

La Sté HSBC Holdings plc a publié ce contenu, le 06 août 2018, et est seule responsable des informations qui y sont renfermées.
Les contenus ont été diffusés par Public non remaniés et non révisés, le06 août 2018 06:18:09 UTC.

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