Cosmo a toutefois précisé qu'elle n'exclurait pas le groupe, dirigé par l'éminent activiste Yoshiaki Murakami, du vote cette fois-ci, contrairement au vote précédent, qui a eu lieu en juin.
Cette tactique, appelée vote à la majorité des minorités, a suscité l'inquiétude des experts en gouvernance, qui craignent qu'elle ne soit interprétée comme autorisant un conseil d'administration à refuser de comptabiliser les votes de certains actionnaires indésirables dans certaines circonstances. (Reportage de Makiko Yamazaki ; Rédaction de Christian Schmollinger)