L'enquête de Nissan sur des malversations présumées de son président Carlos Ghosn se serait élargie pour inclure l'alliance Renault-Nissan. C’est ce que rapporte Reuters, sur la base de trois sources au fait du dossier. Ainsi, selon le média, Nissan aurait informé hier le conseil d'administration de Renault qu'il avait des preuves de malversations potentielles au niveau de Renault-Nissan BV. Cette structure néerlandaise supervise les opérations de l'Alliance sous le contrôle final de Renault, précise Reuters.