L'agence de privatisation possède actuellement 30% de la société tandis que l'Etat grec en détient 25%. Le solde est entre les mains de l'allemand AviAlliance et du grec Copeluzos.

Les ventes d'actifs publics sont l'une des exigences présentées à la Grèce par ses créanciers. Elle n'en a toutefois pour l'heure tiré qu'environ 6 milliards d'euros depuis 2010, loin de l'objectif de 50 milliards.

AIA dispose d'une concession de 30 ans portant sur le bâtiment, la maintenance et les activités aéroportuaires.

(Michele Kambas, Nicolas Delame pour le service français)