"Nous avons soutenu dès le départ le projet Opel. Si une autre occasion se présente, ce n'est pas nous qui freinerons.

Carlos le sait", indique Robert Peugeot, faisant référence au président du directoire du constructeur Carlos Tavares.

Il précise qu'il faut toujours "un alignement des planètes" pour qu'une grande manoeuvre se concrétise et qu'aujourd'hui "rien" n'est encore arrivé jusqu'à son bureau.

Le cas échéant, ajoute Robert Peugeot aux Echos, FFP serait disposé à investir en capital dans des proportions raisonnables.

Fiat Chrysler est régulièrement cité comme un candidat possible à de futures opérations de consolidation.

"Avec eux, comme avec d'autres, les planètes pourraient être alignées", ajoute Robert Peugeot.

Les investissements substantiels que représentent la réduction des émissions, l'électrification des véhicules et la recherche sur les voitures autonomes signifient que les constructeurs automobiles de taille moyenne doivent rechercher des économies d'échelle s'ils veulent rester dans la course face aux géants du secteur Renault Nissan, Volkswagen ou Toyota.

NOTE: Ces informations n'ont pas été vérifiées par Reuters, qui ne garantit pas leur exactitude.

(Bureau de Paris, Gilles Guillaume pour le service français, édité par Juliette Rouillon)