Zurich (awp) - Fin peu glorieuse pour Achiko, l'ex-fintech aux origines indonésiennes devenue spécialiste du diagnostic médical. L'entreprise, qui a fait faillite l'été dernier, n'a pas assez de fonds pour couvrir la procédure.

Celle-ci est terminée à moins qu'un créancier ne demande sa mise en oeuvre et paie l'avance de frais de 6500 francs suisses, selon l'office cantonal des faillites d'Enge à Zurich, qui a publié l'avis dans la Feuille officielle suisse du commerce (FOSC) lundi. Il reste dix jours pour le faire à partir de la date de suspension, qui remonte au 13 février.

En avril 2023, Achiko avait alerté sur sa solvabilité, avant d'être décotée en octobre dernier.

tv/uh/ck/al