Defence Therapeutics Inc. annonce le début de la fabrication de son vaccin ARM en préparation de son essai clinique de phase I ciblant les patients atteints de tumeurs cancéreuses solides. Defence s'efforce continuellement d'exploiter sa technologie AccumTM dans de nombreux secteurs verticaux. Defence a démontré qu'AccumMC a la capacité d'améliorer l'accumulation de biomédicaments dans les cellules cibles et que la molécule AccumMC peut être modifiée et améliorée pour se comporter comme un médicament anticancéreux, AccuTOXMC.

La découverte la plus récente de l'équipe de la Défense est qu'AccumTM peut être modifié pour reprogrammer les cellules stromales mésenchymateuses, qui sont naturellement immunosuppressives, en cellules présentatrices d'antigènes capables de monter de puissantes réponses anticancéreuses qui mènent au vaccin ARM. La feuille de route vers la phase I : En collaboration avec Allucent, la Défense prépare actuellement sa demande auprès de Santé Canada pour lancer son essai clinique de phase I en 2023. Entre-temps, les dernières études précliniques, supervisées par le Dr Rafei, vice-président - Recherche et développement de la Défense, sont en cours pour identifier le meilleur schéma posologique (dose de cellules, moment de l'administration et acheminement).

Parallèlement, des cellules humaines de qualité BPF sont actuellement en cours d'expansion dans une installation de traitement cellulaire BPL au centre de traitement cellulaire de l'Institut Lady Davis, à Montréal, au Canada, afin d'effectuer les essais à blanc requis par Santé Canada avant l'approbation des essais cliniques de Phase I. Ces études consistent à évaluer le potentiel d'expansion des cellules ainsi que le temps nécessaire pour générer suffisamment de doses cellulaires pour traiter tous les patients inscrits. Diverses études de contrôle de la qualité liées à la capture, au traitement et à la présentation de l'antigène seront validées pour assurer la reproductibilité des différents lots de vaccins ARM générés à partir de divers donneurs sains non apparentés.

Une fois les banques de cellules maîtresses et de travail établies par ces essais, les lysats de cellules cancéreuses obtenus à partir des patients seront préparés, caractérisés et stockés en conséquence pour l'injection du vaccin ARM. L'achèvement des essais à sec ainsi que toutes les étapes de contrôle de la qualité requises sont prévus pour le milieu du printemps. La Défense rencontrera ensuite Santé Canada pour obtenir l'autorisation de son essai clinique de phase I, avec l'objectif de le commencer en 2023.

Une fois l'essai clinique de phase I terminé, ce vaccin ARM universel en vente libre pourrait être adapté aux patients atteints de divers types de tumeurs cancéreuses.