" Pour des raisons évidentes, les actions bancaires sont fortement corrélées aux taux, à l'inflation et aux indices macroéconomiques " explique UBS. Alors que le monde se remet de la crise Covid-19, le spécialiste souligne qu'il est déjà évident que la croissance va fortement s'accélérer, que l'inflation va augmenter (sous l'effet des effets de base et des circonstances actuelles), que le chômage va diminuer et, selon lui, que les prix de l'immobilier vont s'accélérer.

Étant donné que (certaines) banques ont constitué d'importants coussins de sécurité en vue de potentielles pertes sur prêts (mais la qualité du crédit reste bonne) et que (toutes) les banques détiennent plus de capital que leur objectif, et que le secteur présente un PER ajusté au capital inférieur de 46% à celui du marché, le broker suisse pense que l'argument en faveur d'une surpondération est logique.